Si je suis… mécanicien auto, j’ai la chance de travailler dans un métier très technique et actif.
Mon quotidien, c’est l’entretien, la révision, le contrôle, le réglage, le dépannage et la réparation de véhicules. L’automobile est pleine d’électronique, j’utilise donc des outils de plus en plus sophistiqués pour rechercher, comprendre et résoudre les pannes. La mécanique reste tout de même très présente, il y a toujours des pièces ou des organes entiers de l’auto à démonter (moteur, freinage, suspension, transmission…), remettre en état ou changer. La commande de pièces occupe d’ailleurs une partie de mon temps, comme le suivi du marché pour connaître les évolutions technologiques. En fin d’intervention, j’écris tout ce que j’ai fait sur une fiche de travaux. La communication est une dimension importante dans mon travail : avant et après le passage de la voiture dans le garage ou l’atelier qui m’emploie, je dois expliquer simplement au client des problèmes mécaniques parfois complexes, conseiller et justifier les réparations ainsi que le prix à payer.

Trois questions à me poser pour savoir si ce métier peut m’intéresser…
- Suis-je passionné(e) par la mécanique et l’univers de la moto ?
- Est-ce que je suis plutôt habile de mes mains, patient(e), rigoureux-se, logique ?
- Est-ce que j’ai envie d’apprendre la relation commerciale et le conseil aux clients ?
Plus de oui que de non ? J’ai des affinités avec ce métier, je veux en savoir plus.
Plus de non que de oui ? Ce métier n’est peut-être pas le meilleur pour moi.
Les diplômes
Si je dis oui à l’apprentissage, je peux être aidé(e) dans ma recherche de maître d’apprentissage par CMA Formation. Beaucoup d’entreprises lui font confiance en formant des apprenti(e)s, par exemple les garages Gérini ou Girard dans les Alpes de Haute-Provence ou dans le Var.







